Écrit par : Hugh Burrill, ambassadeur de marque Sporting Life
Fermez vos yeux et imaginez que vous dévalez une piste abrupte et glacée aussi vite que possible.
Imaginez que cette piste ait des virages raides surélevés et de grandes rampes d’où vous vous lancerez dans les airs et atterrirez (on l’espère) sur vos skis pour continuer votre descente.
Maintenant, imaginez qu’il y a un autre skieur à quelques centimètres de vous qui essaie de descendre la piste encore plus vite que vous.
Maintenant, imaginez un autre skieur de l’autre côté essayant de faire la même chose.
Ajoutez un skieur de plus pour la forme.
Pouvez-vous l’imaginer?
Bienvenue dans le monde chaotique du skicross: un parcours et quatre skieurs!
En novembre dernier, j’ai vécu ma première course de descente de Coupe du monde à Lake Louise. C’était incroyable. La vitesse brute de ces athlètes alors qu’ils passaient près de moi à une vitesse incroyable de 140 km/h était quelque chose à voir. Jamais je n’avais vécu quelque chose comme ça tout au long de ma carrière en diffusion sportive.
Mais le skicross, c’est autre chose!
Introduit en 2004, c’est le «petit nouveau» sur le circuit de la coupe du monde et il fait partie des Jeux olympiques depuis 2010 lorsque Brady Leman de Calgary (alias «The Wombat») a remporté l’or à Pyeongchang après avoir raté le podium quatre ans avant à Sotchi.
Mais c’est du côté féminin que le Canada a vraiment déployé ses muscles en skicross: trois Jeux olympiques et trois médailles d’or. Ashleigh McIvor en 2010, Marielle Thompson en 2014 et Kelsey Serwa en 2018 pour accompagner sa médaille d’argent quatre ans avant.
Suivez sur les réseaux sociaux de Sporting Life à Nakiska cette fin de semaine alors que je vis le dernier skicross avant que ces athlètes se dirigent vers Beijing où on s’attend à ce qu’ils dominent à nouveau.
Profitez du chaos (à peine) contrôlé.